Bitcoin : la cryptomonnaie sert pour des transactions illégales et malhonnêtes

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bitcoinDécidément, le Bitcoin et les cryptomonnaies en général ne cessent de faire parler d’eux en ce moment. Tantôt de manière positive et tantôt de manière négative. Et malheureusement, ces derniers jours, l’actualité autour du Bitcoin est plutôt mauvaise. Et pour cause, son cours a récemment fait une chute vertigineuse au point que certains gros investisseurs ont décidé de se désolidariser du Bitcoin. Bien que la réputation du Bitcoin en a pris un coup, ce n’est pas l’article d’aujourd’hui qui viendra redorer son blason, bien au contraire.

En effet, une étude australienne a tenté de mettre en évidence les transactions réalisées avec des Bitcoin ou d’autres monnaies virtuelles et le résultat de cette étude est tout simplement édifiant. Pour faire simple, de très nombreuses activités illégales seraient financées avec des cryptomonnaies. Cette étude australienne affirme que 72 milliards de dollars de transactions illégales seraient réalisées avec des monnaies virtuelles et le Bitcoin est en tête ! Ainsi, de nombreux utilisateurs utiliseraient le Bitcoin pour acheter des armes, de la drogue et même de la pédopornographie. Mais pourquoi utiliser des cryptomonnaies pour ce genre de transactions ? Tout simplement parce que les transactions réalisées avec ces monnaies virtuelles sont anonymes.

Toutefois, même si la somme de 72 milliards de dollars vous parait conséquente, sachez que cela ne représente qu’un quart des transactions faites avec des cryptomonnaies, le reste étant lié au trading. Imaginez donc le nombre de transactions faites avec des cryptomonnaies, c’est énorme !

Comme vous l’aurez compris, avec cette étude australienne, la réputation du Bitcoin a encore été égratignée et cela ne va pas en s’arrangeant. Quoi qu’il en soit, avec la création de nouvelles cryptomonnaies, le domaine des monnaies virtuelles n’est pas prêt de s’évaporer. Les cryptomonnaies vont encore faire parler d’elles dans les années à venir, reste à savoir si les investisseurs continueront à faire confiance à ces monnaies virtuelles et non palpables.

Source : Numerama

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